C'était bien chouette de bosser avec eux.
Un gros merci et une petite photo pour vous montrer de quoi il ont l'air.
Benny (akka"The Waddadude") , Jenny, "El Kreko" et le mari de Jenny dont le nom m'échappe.
samedi 27 décembre 2008
Wurst Park : LeCrew
C'était bien chouette de bosser avec eux.
Un gros merci et une petite photo pour vous montrer de quoi il ont l'air.
Benny (akka"The Waddadude") , Jenny, "El Kreko" et le mari de Jenny dont le nom m'échappe.
Quelques Photos PallMall de l'expo
Comme ça pour vous donner un aperçu.
Un jour viendra ou je ferais un site ou un Flick R pour montrer cette fichue expo.
D'autant que je la voyais exposée des deux côtés de la frontiere mais que je sens mon envie de passer à autre chose prendre le dessus.
Bien, rien que pour vous mon nouveau public averti (puisque désormais j'ai décidée de ne plus me lire seule), voici des photos de Wurst Park.
J'ai survécu !
Oui !!!
Je suis de l'autre côté à nouveau ! Enfin de retour dans mon élément. Je peux à nouveau me griser me goinfrer de culture, de rencontres, de discutions, de de... Enfin je suis à nouveau chez moi ! Je comprends ce qui m'entoure. Je peux achetter du pain sans avoir peur d'avoir l'air conne car j aurais mal prononcé quelque chose.
Fini la paranoïa.
J'ai fait mon expo.
Eh bien ?
Eh bien c'était cool! Même rudement "coulle"!
Il y avait des gens. Des qui ont compris tout de suite. Des qui n'ont pas compris jamais.
Des qui prenaient des photos et me les ont envoyés tres sympathiquement. Des qui me laissaient des mots dans le Livre d'Or. Des qui ont été de super suport pour ce qui a finalment donné un sens, un but abouti à mon année à Köln.
Je m'en reviens donc, soulagée. J'ai fait quelque chose. J'ai marqué mon tronçon de trotoir colognois, de mon pipi artistique.
Ca fait du bien. AAh.
Je peux passer à autre chose. Retourner la saucisse.
Maintenant je fais de l'anthropologie.
Et ça me plait et je m'y plais.
Beaucoup même.
Je ne laisse pas tomber le reste pour autant mais j'étanche ma soif goulue de découvrir de comprendre, de participer.
Et ça tombe bien: comme ça marche, ça m'épanouit.
Je suis boulimique.
De me cultiver, de rencontrer des gens, de faire la fête.
Une grosse boulimie m'assaillit.
Combien de temps vais je tenir ce rythme éffréné ?
(j'adore)
Je suis de l'autre côté à nouveau ! Enfin de retour dans mon élément. Je peux à nouveau me griser me goinfrer de culture, de rencontres, de discutions, de de... Enfin je suis à nouveau chez moi ! Je comprends ce qui m'entoure. Je peux achetter du pain sans avoir peur d'avoir l'air conne car j aurais mal prononcé quelque chose.
Fini la paranoïa.
J'ai fait mon expo.
Eh bien ?
Eh bien c'était cool! Même rudement "coulle"!
Il y avait des gens. Des qui ont compris tout de suite. Des qui n'ont pas compris jamais.
Des qui prenaient des photos et me les ont envoyés tres sympathiquement. Des qui me laissaient des mots dans le Livre d'Or. Des qui ont été de super suport pour ce qui a finalment donné un sens, un but abouti à mon année à Köln.
Je m'en reviens donc, soulagée. J'ai fait quelque chose. J'ai marqué mon tronçon de trotoir colognois, de mon pipi artistique.
Ca fait du bien. AAh.
Je peux passer à autre chose. Retourner la saucisse.
Maintenant je fais de l'anthropologie.
Et ça me plait et je m'y plais.
Beaucoup même.
Je ne laisse pas tomber le reste pour autant mais j'étanche ma soif goulue de découvrir de comprendre, de participer.
Et ça tombe bien: comme ça marche, ça m'épanouit.
Je suis boulimique.
De me cultiver, de rencontrer des gens, de faire la fête.
Une grosse boulimie m'assaillit.
Combien de temps vais je tenir ce rythme éffréné ?
(j'adore)
samedi 11 octobre 2008
Saucisses et graillons
Donc la chronique teutonique aura quand même abouti à quelque chose. Voici m petite expo sur la manie grillesque des outre-rhinois et les parcs de Cologne. Aaah les parcs de Cologne .... "Achhh", plustôt...C'est dans deux semaines, il reste encore du schwartz-brot sur la planche.
dimanche 27 juillet 2008
Nouveau départ.
Bon je vois que j ai pris le chemin de la blasitude la plus totale en ce blog germanique.
C'est que ma vie quotidienne et annodinement mesquine de vide m'angoisse assez.
C'est un peu l'apocalypso.
Ca tangue c'est dansant mais il y'a un vague angoisse du nullepart qui me rôde sans cesse autour.
J'avais dit plus de baratin non plus. C'est plus fort que moi. A croire que j ai du baratin en stock qui veut sortir prendre l'air sur la toile.
C'est que je n ai pas beaucoup l'occasion de baratiner là ou je suis.
Les jeux de mots à balles deux et les retournements de syntaxe de lascar, ne sont compris que de moi.
L'Allemagne. C'est triste sans scarlas.
Triste sans Tristan
seul sans Iseult.
Il y en a d'autres c'est vrai. Quand même.
Il faut rechopper le bon coté de l'Allemagne où ma vie socialle est a son niveau d'enrichissement personnel proche du crack boursier.
Un jour, je vous parlerais des brins d'herbe libres qui chantent sous les sillons traces par les vélos. Des saucisses aux mille noms. Des mille sortes de Kölsch. Des trains et leurs tickets "Preistuffe b" traduits en mille langues "Preistuffe b".
Des italienes de ma rue. De leurs robes bleu marine à pois blanc comme chez Cavanna dans les années 50.
De ma voisine la Princesse de.
De mes achats compulsifs sur ebay et de me soirees Gad Elmaleh toute seule a rigoler devant mon ecran d ordi.
Zut je redeviens déprimante.
C'est que je fais ce blog par déprime de n'avoir personne avec qui partager ces trucs à la con qui font que quand même je suis bien contente d'être là.
J'avais dit "Une chronique de la vie Outre-Rhin", en arrivant...
Voyons voir ce qu'il en reste...
C'est que ma vie quotidienne et annodinement mesquine de vide m'angoisse assez.
C'est un peu l'apocalypso.
Ca tangue c'est dansant mais il y'a un vague angoisse du nullepart qui me rôde sans cesse autour.
J'avais dit plus de baratin non plus. C'est plus fort que moi. A croire que j ai du baratin en stock qui veut sortir prendre l'air sur la toile.
C'est que je n ai pas beaucoup l'occasion de baratiner là ou je suis.
Les jeux de mots à balles deux et les retournements de syntaxe de lascar, ne sont compris que de moi.
L'Allemagne. C'est triste sans scarlas.
Triste sans Tristan
seul sans Iseult.
Il y en a d'autres c'est vrai. Quand même.
Il faut rechopper le bon coté de l'Allemagne où ma vie socialle est a son niveau d'enrichissement personnel proche du crack boursier.
Un jour, je vous parlerais des brins d'herbe libres qui chantent sous les sillons traces par les vélos. Des saucisses aux mille noms. Des mille sortes de Kölsch. Des trains et leurs tickets "Preistuffe b" traduits en mille langues "Preistuffe b".
Des italienes de ma rue. De leurs robes bleu marine à pois blanc comme chez Cavanna dans les années 50.
De ma voisine la Princesse de.
De mes achats compulsifs sur ebay et de me soirees Gad Elmaleh toute seule a rigoler devant mon ecran d ordi.
Zut je redeviens déprimante.
C'est que je fais ce blog par déprime de n'avoir personne avec qui partager ces trucs à la con qui font que quand même je suis bien contente d'être là.
J'avais dit "Une chronique de la vie Outre-Rhin", en arrivant...
Voyons voir ce qu'il en reste...
Tout ça pour ça
Cette blasitude est due a un CV.
Cette blasitude incomprehensible, ici, mon charabia a moi.
Cette blasitude incomprehensible, ici, mon charabia a moi.
La sveglietta che fa drin drin
Mais le meilleur, meilleur encore que de pouvoir écrire ausi aussi souvent que je le veux et comme il me plait, c'est l'absence de la sveglietta che fa drin drin.
La donna riccia non la voglio no
no no no
Nononisme
La donna riccia non la voglio no
no no no
Nononisme
Errata
Parfois j écris aussi avec deux "s" parfois avec un.
Il faut s y adapter. C est une persistance de la membrane rétinienne qui se fluctifie en variation de ma densité dactilo-graphique.
Rien de grave. Heureusement ça ne se voit pas quand je parle.
Il faut s y adapter. C est une persistance de la membrane rétinienne qui se fluctifie en variation de ma densité dactilo-graphique.
Rien de grave. Heureusement ça ne se voit pas quand je parle.
J'écris à ma grand-mère ausi parfois
on peut voir en haut a droite deux confetti qui saluent un petit confetti a lunettes.
c est mon frère et moi et notre grand mère de tout la bas.
la pasta.
On y mange aussi ...
De bas en haut. Suivons un peu de près les habitudes gastronomiques de notre ami le Krek.
Le Krek et le Knout font partie de ma vie en cette époque de décadence voie de garagesque.
j aime bien le Knout.j aime tellement que pour le carnaval j ai décidé d'inverser les rôles.
j avais tout prévu.
j avais même recupere une vieille mousse de matelas pour faire le costume.
mais finalement, j ai trouvé personne pour faire le carnaval avec moi.
et j ai marché seule dans la rue sans déguisement.
eh oui.
Integrazion courze
( les exclamations ont ete rajoutées ulterieurement, d'apres le manuel d Allemand langue étragère, pour faire plus "vrai" .)
Inscription à :
Articles (Atom)
